Alors ce que les pauvres créatures humaines pourraient réaliser.(13)(l)
Dixième parabole des Chritars de bon augure Conversation du Raja et du ministre, complétée par la bénédiction. (10)(184)
Dohira
Alors le ministre expliqua le secret au grand roi.
Alors le Ministre inculqua et raconta ce dixième Chritar.(1)
Un commerçant vivait dans la ville de Peshawar, dont la femme était envahie par de mauvais caractères.
Elle avait tué le commerçant et s'était immolée avec son cadavre. Maintenant, je vais réciter leur histoire :(2)
Le commerçant est parti en voyage d'affaires.
En son absence, elle ne pouvait pas contrôler sa passion et a invité une personne à vivre avec elle dans la maison.(3)
Chaque fois qu'il avait faim, son bébé pleurait pour avoir du lait, mais, jour après jour,
Elle s'occupait à faire l'amour.( 4)
Chaupaee
Quand le fils avait faim et a appelé (à la mère).
Un jour, alors que le bébé pleurait fort en cherchant de la nourriture, son amant lui a demandé :
Ô femme ! Tu la fermes
« Allez, faites taire l'enfant et, ensuite, éliminez mes angoisses sensuelles. »(5)
(Il) s'est levé et l'a embrassée.
La dame est allée essayer de l'allaiter mais l'enfant ne voulait pas se taire.
De ses propres mains (il) a tué son fils
(Pour le calmer), elle a étouffé le bébé de ses propres mains et a ensuite sorti l'homme de ses misères érotiques.(6)
Quand le garçon resta silencieux, l'ami dit :
Remarquant l'arrêt soudain des pleurs du bébé, l'homme demanda :
"Pourquoi votre enfant ne pleure pas maintenant."
Elle a révélé : « Pour votre plaisir, j'ai tué mon fils. »(7)
Dohira
Apprenant le fait, il eut très peur et lui reprocha d'avoir fait
Ainsi au bébé.(8)
Lorsqu'il lui reprocha sévèrement son acte, elle sortit une épée et
Lui a immédiatement coupé la tête.(9)
Avec l'aide d'une autre personne, elle a creusé un trou dans le coin et
Je les ai enterrés tous les deux dedans.(10)
(D'ailleurs,) il y avait là à ce moment-là un mendiant qui avait regardé l'épisode en entier.
Il alla raconter toute l'histoire à son ami le commerçant.(11)
Chaupaee
En entendant les paroles de (l'invité), Bania rentra à la maison.
Apprenant le fait, le commerçant rentra chez lui et demanda ainsi à sa femme :
Si (vous) déterrez le coin de la maison,
'Creusez ce coin et montrez-moi, sinon je ne vivrai pas dans cette maison.'(l2)
Arrille
Lorsque l'homme dit ainsi à la femme, celle-ci se mit en colère :
J'ai sorti l'épée et je l'ai tué aussi.
En le décapitant, elle s'est mise à crier à haute voix :
« Les voleurs ont fait irruption dans la maison et ont tué mon mari. »(13)
Dohira
«Ils ont tué mon mari, ils ont tué mon fils et ont pris toutes nos richesses.
«Maintenant, au rythme du tambour, je déclare que je deviendrai un Sati en m'immolant avec lui.»(14)
Le lendemain matin, elle se dirigea vers le bûcher funéraire et les gens
Suivis aussi, avec du bois de chauffage à la main, pour observer le spectacle.(15)
Écouter les battements des tambours et observer le mouvement des
Les gens, ce mendiant, qui avait vu tout ce qui se passait, sont venus aussi.(16)