« Il ne faut pas s'abstenir, le traitement doit être adapté à la maladie et il ne faut pas y renoncer.
« Il ne faut pas cacher une maladie à un valet de chambre, à une sage-femme, à un gourou ou à un ami.
«Il n'y a personne d'autre à qui nous pourrions ouvrir notre esprit.»(7)
Kabit
Elle lui fit manger la progéniture des grenouilles. Il l'a fait travailler dans les champs pour semer des radis. On lui a frappé la tête avec des pantoufles et on l'a envoyé faire paître ses moutons.
Sa tête était jonchée de poussière et sa moustache était rasée. Son état devenait indescriptible.
Il a été expulsé de la maison pour mendier en portant un manteau rapiécé.
La femme a montré le truc et l'amant l'a jeté dehors après avoir fait de lui un imbécile.(8)
Chaupaee
Lorsqu'il revint après avoir mendié, il ne l'y trouva pas (Yusaf Khan).
Il a demandé : « Celui qui m'avait soigné,
Celui qui a enrayé ma maladie, où est-il passé ?
Dommage, cet imbécile n'a pas pu comprendre le véritable motif.(9)
Alors (cette) femme prononça les mots ainsi.
Ô ami ! (Je) parle, écoute.
Entre les mains de qui vient le médicament éprouvé,
Il ne montre pas la forme après la lui avoir donnée. 10.
Dohira
(Elle dit :) " Ce n'est que par chance que le charmeur de reptiles et les guérisseurs seront retrouvés et
Ils s'enfuient après avoir suggéré le traitement. "Ils ne sont pas retrouvés par la suite." (11)
Chaupaee
Cet imbécile la croyait digne de confiance
Et je n’ai pas essayé de comprendre le véritable objectif.
Pensant qu'elle l'avait aidé à éliminer sa grosse infirmité,
Il a commencé à l'aimer encore plus. (12)
Septième parabole des Chritars de bon augure Conversation du Raja et du ministre, complétée par la bénédiction. (7)(145).
Dohira
Dans la ville d'Akbarabad, vivait une femme dépourvue de bonnes actions.
Elle connaissait bien les charmes et les incantations magiques. (I)
Elle était connue sous le nom de Kunwar Anuraag Mati et même les épouses de
Les dieux et les démons l'enviaient.(2)
Arrille
Elle s'est constamment impliquée dans
Faire l'amour passionnément sans remords.
Les Sayeeds, les Cheikhs, les Pathans et les Moghols fréquentent fréquemment
Je suis venu la voir et je suis rentré chez eux après avoir eu des relations sexuelles.(3)
Dohira
De cette façon, ils lui faisaient plaisir quotidiennement.
Ainsi, ils venaient quotidiennement et rentraient chez eux après avoir copulé.(4)
Au premier quart de la journée, venait le Sayeed, le Cheikh au deuxième,
Le Moghol au troisième et au quatrième trimestre est venu le Pathan pour profiter du sexe avec elle.(5)
Chaupaee
Oubliant le tour, un jour le Pathan arriva avant tout le monde.
Le Sayeed entra également à sa suite.
Elle a fait le chemin et s'est cachée sous le lit
Et a pris Sayeed dans ses bras. (6)
D'ailleurs, immédiatement après l'arrivée du Sayeed le Cheikh,
Et elle a caché le Sayeed dans le foin.