Pour rencontrer le cher Vrai Guru, un disciple obéissant joue au jeu de l'amour et se fond dans la lumière divine du Vrai Guru d'une manière comme le fait un papillon de nuit qui périt sur sa flamme bien-aimée.
L’état d’un Sikh dévoué qui rencontre le Vrai Guru afin de savourer l’extase spirituelle est comme celui d’un poisson dans l’eau. Et celui qui est séparé de l’eau semble mourir dans les affres de la séparation.
Comme un cerf absorbé par le son musical de Ghanda Herha, l'esprit d'un véritable dévot apprécie le bonheur divin absorbé par la parole du Guru.
Le disciple qui est capable de concentrer son esprit dans la parole divine et pourtant de se séparer du Vrai Guru, son amour est faux. On ne peut pas l'appeler un véritable amant. (550)